DSC_0485Le secteur de la restauration est un secteur économique essentiel pour la Région bruxelloise. Il occupe des milliers de personnes dans notre capitale, des emplois non délocalisables et ouverts parfois à des personnes moins qualifiées. Jour après jour, des femmes et des hommes s’activent avec passion en cuisine ou en salle pour proposer des plats de qualité et faire découvrir de nouvelles saveurs aux palais des Bruxellois et des touristes.

Basés sur une véritable passion qui se transmet parfois de génération en génération, les métiers de bouche rencontrent parfois de difficultés. A l’occasion de la présentation du mémorandum de la Belgian Restaurant Association (BRA), j’ai eu l’occasion de participer à une table ronde très franche entre restaurateurs Bruxellois, Wallons et Flamands et responsables politiques.

J’ai pu y entendre les attentes et les espoirs de certains chefs (étoilés ou non) désireux de poursuivre leur travail de plus en plus reconnu à l’étranger, désireux de travailler de manière honnête avec un souci marqué pour les conditions de travail de leurs collaborateurs mais aussi désireux de voir certaines contraintes allégées.

Que ce soit lors de l’organisation de Brusselicious en 2012, ou avec la mise en place d’un Centre de Technologies Avancées (CTA) destiné aux métiers de bouches sur le campus du CERIA, de nombreux efforts ont été consentis pour soutenir ce secteur vital pour Bruxelles. Il est utile cependant de rester à l’écoute et d’apporter des réponses durables à ces acteurs de terrains qui font la renommée de notre Région.